Pour soigner la peur, que faut-il choisir : un élixir unitaire ou un élixir composé ?
Soigner les peurs : Fleurs de Bach en Composés, fleurs de Bach unitaires
Un unitaire comporte une seule fleur, pour s'adresser à un état très précis : Aspen (le tremble) vise les peurs sans origine connue, "on a peur mais on ne sait ni pourquoi ni de quoi".
Un composé comporte plusieurs fleurs et calme le jeu dans tous les cas.
Un composé de fleurs pour soulager immédiatement la peur
Le composé "peurs" a été conçu pour réduire efficacement toute peur aigüe ou chronique, à tout âge de la vie. Les composés prêts à l'emploi présentent l'avantage d'être une aide efficace dans tous les cas, et sont très faciles à choisir : on est donc toujours satisfait du résultat. Il est possible que le composé doive ensuite être relayé par "la" fleur de Bach unitaire qui correspond pile à la problématique qui nous handicape. Mais celle-ci sera parfois moins facile à déterminer soi-même. Alors qu'il est évident de savoir si l'on est victime de peur ou de découragement !
Une fleur unitaire contre la peur ou contre "l'épine dans le pied"
Déterminer le problème psychologique de base qui nous amène à un état de peur peut nécessiter l'intervention d'un florathérapeute ou énergéticien. Il est possible également que nous soyons apte à le déterminer nous-même, mais peut-être pour cela faudra-t-il d'abord soulager notre peur !
Si la peur n'a pas pour fondement une toute autre émotion, nous pouvons avantageusement compulser les unitaires correspondant aux états de peur. Les plus courants sont :
- Aspen
- Mimulus
Si après avoir lu les quatre descriptions, nous ne sommes pas certain du choix, ou si nous ne correspondons pas précisément à l'un des quatre, il est préférable de prendre le composé "Peurs".
Les alternances entre la peur et d'autres états émotionnels
Il arrive qu'un état émotionnel en déclenche un autre. Ainsi, un changement de vie ou professionnel important peut nous mettre dans un état de découragement. Le découragement déclenche ensuite, et ensuite seulement, des bouffées d'angoisse. On a donc une série de successions : Découragement=>Angoisse. Dans ce cas, ce n'est pas "Peurs" qu'il faut prendre, mais "le déclencheur" : "Découragement".
La peur n'est qu'un élément parmi une large palette d'états émotionnels
La peur peut revêtir différentes intensités, et s'accrocher à différents "prétextes". L'enfant Aspen qui se réveille terrorisé en pleine nuit mais ne se souvient pas de son cauchemar offre un profil très différent de celui du senior qui globalement "sait se gérer" mais voit quand même sa qualité de vie dégradée par des peurs rampantes : peur de la mort, peur de la maladie, peur d'être seul... C'est cette extrême diversité, et aussi le "problème de la mutation" qui compliquent l'emploi des unitaires.
Le problème de la mutation
Lorsque l'on a constamment peur sans savoir pourquoi (ce qui indique Aspen), il arrive qu'avec le temps qui passe cette "peur pour rien" se fasse passer pour une "peur de choses précises". Cela vient du fait que la peur, omniprésente, se produit pendant un événement précis : par exemple, on visite une personne malade à l'hôpital, et comme on a souvent peur, pourquoi pas à ce moment-là aussi ? Il se crée alors un réflexe conditionné qui favorisera la peur à l'idée de la maladie. On va alors se dire : "j'ai peur de choses précises, donc c'est Mimulus"... Alors qu'en réalité c'est d'Aspen qu'il s'agit.